Le Grand JE du petit homme.
Cela a commencé lundi, par le ballet des camions disposant aux quatre coins de la ville les barrières métalliques destinées à contenir d'éventuels manifestants et à abriter de très réels policiers de la gent saint-quentinoise.
Cela s'est confirmé mardi, sur les radios annonçant la visite de Nicolas Sarkozy dans la ville de ... Xavier Bertrand ! Je dois dire qu'à partir de cet instant, je me suis senti exproprié, comme beaucoup de Saint-Quentinois sans doute. Car les Saint-Quentinois, comme la plupart des "imbéciles heureux qui sont nés quelque part", imaginaient être à égalité propriétaires, ou au moins locataires de leur ville. Que l'on rappelle que Xavier Bertrand est député de la circonscription de Saint-Quentin, qu'il est également adjoint au maire, soit, mais cela ne lui donne aucun titre sur la ville !
Je suis né dans cette ville, en un temps ou Xavier Bertrand appartenait encore à un avenir improbale ; j'y ai fait mes études, avant d'y enseigner la philosophie, notamment à Xavier Bertrand qui fut l'un de mes élèves (je l'avoue), mais pas un de mes disciples ; j'y ai effectué la plus grande partie de ma vie professionnelle, mes enfants y sont nés et y ont effectué leurs études secondaires. Bref, j'affirme avoir autant de droits sur cette ville que Xavier Bertrand et je ne saurais admettre que l'on me demande de justifier mon identité lorsque je me rends chez mes parents âgés, parce qu'ils ont eu la mauvaise idée, dans les années 1950, d'élire domicile au centre de la zone interdite par les brigades sarkoziennes ; je ne saurais supporter que l'on fasse de Saint-Quentin, qui est ma ville (au sens où Toulouse fut celle de Nougaro, et non Saint-Quentin le "fief de Xavier Bertrand"), une ville en état de siège.
Car pendant que Sarkozy paradait au "Palais des sports" de Saint-Quentin devant un public à sa dévotion, trié sur le volet et soigneusement filtré, quelques centaines de personnes assez déterminées pour affronter la pluie, le froid, les cordons de CRS et les barrages érigés à tous les coins de rue, se regroupaient devant la Bourse du travail pour y faire entendre leur voix. Elles savaient bien que la première mission des "forces de sécurité" était de les en empêcher et que Sarkozy avait promis de sévères mesures de rétorsion si, comme à Saint-Lô, il entendait le moindre sifflet ou le moindre slogan hostile ! Une annonce de l'AFP donne la mesure du dispositif : "le député PS René Dosière, spécialiste du budget de l'Elysée, a épinglé lors des questions au gouvernement le coût du déplacement de Nicolas Sarkozy à Saint-Quentin, dans l'Aisne, qui s'élève, selon lui, à 400.000 euros. "Le président de la République s'est adressé au cours d'un meeting aux allures électorales à 4.000 sympathisants UMP qui avaient tous reçu par la poste un carton d'invitation", a lancé M. Dosière. En outre, "près de 1.300 policiers, CRS, gendarmes ont été mobilisés", a-t-il ajouté, en critiquant la fermeture du centre-ville de Saint-Quentin pour l'occasion."
Cela s'est confirmé mardi, sur les radios annonçant la visite de Nicolas Sarkozy dans la ville de ... Xavier Bertrand ! Je dois dire qu'à partir de cet instant, je me suis senti exproprié, comme beaucoup de Saint-Quentinois sans doute. Car les Saint-Quentinois, comme la plupart des "imbéciles heureux qui sont nés quelque part", imaginaient être à égalité propriétaires, ou au moins locataires de leur ville. Que l'on rappelle que Xavier Bertrand est député de la circonscription de Saint-Quentin, qu'il est également adjoint au maire, soit, mais cela ne lui donne aucun titre sur la ville !
Je suis né dans cette ville, en un temps ou Xavier Bertrand appartenait encore à un avenir improbale ; j'y ai fait mes études, avant d'y enseigner la philosophie, notamment à Xavier Bertrand qui fut l'un de mes élèves (je l'avoue), mais pas un de mes disciples ; j'y ai effectué la plus grande partie de ma vie professionnelle, mes enfants y sont nés et y ont effectué leurs études secondaires. Bref, j'affirme avoir autant de droits sur cette ville que Xavier Bertrand et je ne saurais admettre que l'on me demande de justifier mon identité lorsque je me rends chez mes parents âgés, parce qu'ils ont eu la mauvaise idée, dans les années 1950, d'élire domicile au centre de la zone interdite par les brigades sarkoziennes ; je ne saurais supporter que l'on fasse de Saint-Quentin, qui est ma ville (au sens où Toulouse fut celle de Nougaro, et non Saint-Quentin le "fief de Xavier Bertrand"), une ville en état de siège.
Car pendant que Sarkozy paradait au "Palais des sports" de Saint-Quentin devant un public à sa dévotion, trié sur le volet et soigneusement filtré, quelques centaines de personnes assez déterminées pour affronter la pluie, le froid, les cordons de CRS et les barrages érigés à tous les coins de rue, se regroupaient devant la Bourse du travail pour y faire entendre leur voix. Elles savaient bien que la première mission des "forces de sécurité" était de les en empêcher et que Sarkozy avait promis de sévères mesures de rétorsion si, comme à Saint-Lô, il entendait le moindre sifflet ou le moindre slogan hostile ! Une annonce de l'AFP donne la mesure du dispositif : "le député PS René Dosière, spécialiste du budget de l'Elysée, a épinglé lors des questions au gouvernement le coût du déplacement de Nicolas Sarkozy à Saint-Quentin, dans l'Aisne, qui s'élève, selon lui, à 400.000 euros. "Le président de la République s'est adressé au cours d'un meeting aux allures électorales à 4.000 sympathisants UMP qui avaient tous reçu par la poste un carton d'invitation", a lancé M. Dosière. En outre, "près de 1.300 policiers, CRS, gendarmes ont été mobilisés", a-t-il ajouté, en critiquant la fermeture du centre-ville de Saint-Quentin pour l'occasion."
AFP 25/03/2009
Les images de Sarkozy au palais des sports, tout le monde a pu les voir, dans les journaux et sur toutes les chaînes de télévision.
Le discours de Sarkozy, tout le monde a pu en entendre des extraits ou le suivre dans son intégralité sur les radios ou à la télévision.
Les images de la manifestation ont été soigneusement occultées par les mêmes médias soucieux de ne pas provoquer la fureur du "little big man".
Les sifflets et la colère des manifestants, personne n'a pu les entendre : "motus et bouche cousue", telle était l'instruction donnée aux médias.
Bref, les deux photos ci-dessus semblent appartenir à deux mondes différents, totalement étrangers l'un à l'autre., échappées de deux univers parallèles. La première porte le label "vu à la télévision" ; la seconde, ainsi que celles qui vont suivre, sont plutôt de celles qui sont prises en caméra cachée et qui circulent sous le manteau. Nous les mettons en ligne, car il appartient au comité du POI de Saint-Quentin de témoigner de l'événement, et de porter à la connaissance des Saint-Quentinois et des habitants des autres villes de France, une autre vision que la vision officielle.
Le discours de Sarkozy, tout le monde a pu en entendre des extraits ou le suivre dans son intégralité sur les radios ou à la télévision.
Les images de la manifestation ont été soigneusement occultées par les mêmes médias soucieux de ne pas provoquer la fureur du "little big man".
Les sifflets et la colère des manifestants, personne n'a pu les entendre : "motus et bouche cousue", telle était l'instruction donnée aux médias.
Bref, les deux photos ci-dessus semblent appartenir à deux mondes différents, totalement étrangers l'un à l'autre., échappées de deux univers parallèles. La première porte le label "vu à la télévision" ; la seconde, ainsi que celles qui vont suivre, sont plutôt de celles qui sont prises en caméra cachée et qui circulent sous le manteau. Nous les mettons en ligne, car il appartient au comité du POI de Saint-Quentin de témoigner de l'événement, et de porter à la connaissance des Saint-Quentinois et des habitants des autres villes de France, une autre vision que la vision officielle.
Nous y étions, nous avons vu, nous témoignons.
Rubrique : pas vu à la télé.
Rubrique : pas vu à la télé.
Le POI était bien présent, mais aussi les partis de gauche unis lors des dernière élections municipales, ainsi que les organisations syndicales.
Où étaient donc les Saint-Quentinois, ce mardi 24 mars 2009 ? A l'intérieur du Palais des sports, ou dans la rue ?
Alors que la bourgeoisie Saint-Quentinoise s'était agglutinée au Palais des sports pour faire la claque à Sarkozy, bien au chaud, bien entre soi, autour de tout ce que le département peut compter de militants UMP mobilisés pour cadrer la grande fête médiatique, le peuple de Saint-
Quentin s'était retrouvé sur la place Gracchus Babeuf, espace vidé de ses voitures, complètement désertifié pour être abandonné aux manifestants. Cette immense place vide donnait un curieux senriment de "QHS" (Quartier de haute surveillance).
Mais Gracchus Babeuf : quel symbole ! On rappellera seulement que cet illustre révolutionnaire né à Saint-Quentin en 1760, a voué sa vie à la lutte contre les inégalités, avant d'être guillotiné en 1797.
Saint-Quentin, la ville de Xavier Bertrand ?
Allons donc ! Gracchus Babeuf, voilà un patronnage autrement plus flatteur, et plus digne. Décidément, tous ces petits fats d'aujourd'hui, qui n'en ont jamais fini de nous faire le "grand je" seraient bien avisés de revoir leur histoire de France.
Saint-Quentin était hier, pour nombre de Saint-Quentinois, et plus que jamais la ville de Gracchus Babeuf !
Les "forces de l'ordre" et les serviteurs de la propagande sarkozienne n'ont pu empêcher les manifestants d'entreprendre une marche dans les quelques rues du centre ville restées temporairement accessibles. Il est vrai qu'ils connaissaient assez bien le terrain pour exploiter la moindre faille du dispositif policier, et c'est pourquoi l'on a pu assister au spectacle cocasse d'une grappe de CRS prise entre deux vagues de manifestants.
Mais l'essentiel n'est pas dans l'anecdote ; il est dans ce sentiment de désespérance et de sourde colère qui se dégageait de cette manifestation : non pas comme il arrive une marche joyeuse et exuberante, mais une marche grave, ajustée aussi bien aux conditions météorologiques qu'au climat social. Les manifestants Saint-Quentinois avaient en tête le nombre de travailleurs qui perdraient leur emploi pendant l'heure que le champion de la bourgeoisie sacrifiait à son grand show, à deux pas de là. Les chiffres officiels du chômage allaient tomber : 79.900 pour le seul mois de février, après les 90.000 du mois de janvier, ce qui confirme la moindre durée du mois de février !
Et que disait Sarkozy, claquemuré dans son palais des sports, flanqué de sa haute cour et s'adressant à cette basse cour qu'il avait l'impudence de confondre avec la population saint-quentinoise ?
" Je suis bien content d'être dans cette ville, dans ce département, dans cette région, où les gens d'ici connaissent la valeur du travail, du mérite, de l'effort".
Vous avez raison, Monsieur le Président, les gens d'ici connaissent ces valeurs. Mais je me dois de vous faire savoir que "les gens d'ici", ce ne sont pas ceux qui se trouvent devant vous, à vous flagorner. Ce sont ceux que vous ne voulez pas voir, que vous ne voulez pas entendre, qui ne sont pourtant pas loin de vous, mais qui ne vous entendront pas, ou ne prendront connaissance de vos paroles que tout à l'heure, devant leur poste de télévision.
Mais je peux vous dire une chose, c'est que s'ils vous avaient entendu à ce moment là, vous n'auriez pu empêcher leur clameur monter jusqu'à vous, et vos sbires auraient eu bien des difficultés à contenir leur indignation. Comment ! aller chanter les valeurs du travail et de l'effort à des gens que votre politique prive de leurs emplois, de leurs ressources, réduit à la misère, c'est de la provocation ! C'est une honte ! Votre "cher Xavier" a sans doute négligé de vous dire qu'à Saint-Quentin, la population diminue, que la pauvreté par contre ne cesse de s'accroître, que le taux de chômage est le plus élevé de Picardie. Voilà la réalité. Par rapport à cette réalité, votre discours est singulièrement décalé et révoltant. De ce discours, nour reparlerons peut-être, mais chacun aujourd'hui s'accorde à reconnaître que ce n'est pas là l'essentiel!
Pour finir, Monsieur le Président, permettez-moi de vous donner un petit conseil. Certes, ceux que j'ai pu donner à Xavier Bertrand ne semblent pas avoir produit d'excellents résultats, mais sait-on jamais !
Si vous tenez absolument à entretenir les gens de la valeur du travail et de l'effort, faîtes-le donc parmi les vôtres, dans d'autres villes plus favorisées que Saint-Quentin, pourquoi pas à Neuilly ?
Mais, de grâce, pas chez nous, pas dans la ville de Gracchus Babeuf et, oserai-je dire, pas chez moi. Pour nombre de Saint-Quentinois, votre discours a quelque chose d'indécent !
Où étaient donc les Saint-Quentinois, ce mardi 24 mars 2009 ? A l'intérieur du Palais des sports, ou dans la rue ?
Alors que la bourgeoisie Saint-Quentinoise s'était agglutinée au Palais des sports pour faire la claque à Sarkozy, bien au chaud, bien entre soi, autour de tout ce que le département peut compter de militants UMP mobilisés pour cadrer la grande fête médiatique, le peuple de Saint-
Quentin s'était retrouvé sur la place Gracchus Babeuf, espace vidé de ses voitures, complètement désertifié pour être abandonné aux manifestants. Cette immense place vide donnait un curieux senriment de "QHS" (Quartier de haute surveillance).
Mais Gracchus Babeuf : quel symbole ! On rappellera seulement que cet illustre révolutionnaire né à Saint-Quentin en 1760, a voué sa vie à la lutte contre les inégalités, avant d'être guillotiné en 1797.
Saint-Quentin, la ville de Xavier Bertrand ?
Allons donc ! Gracchus Babeuf, voilà un patronnage autrement plus flatteur, et plus digne. Décidément, tous ces petits fats d'aujourd'hui, qui n'en ont jamais fini de nous faire le "grand je" seraient bien avisés de revoir leur histoire de France.
Saint-Quentin était hier, pour nombre de Saint-Quentinois, et plus que jamais la ville de Gracchus Babeuf !
Les "forces de l'ordre" et les serviteurs de la propagande sarkozienne n'ont pu empêcher les manifestants d'entreprendre une marche dans les quelques rues du centre ville restées temporairement accessibles. Il est vrai qu'ils connaissaient assez bien le terrain pour exploiter la moindre faille du dispositif policier, et c'est pourquoi l'on a pu assister au spectacle cocasse d'une grappe de CRS prise entre deux vagues de manifestants.
Mais l'essentiel n'est pas dans l'anecdote ; il est dans ce sentiment de désespérance et de sourde colère qui se dégageait de cette manifestation : non pas comme il arrive une marche joyeuse et exuberante, mais une marche grave, ajustée aussi bien aux conditions météorologiques qu'au climat social. Les manifestants Saint-Quentinois avaient en tête le nombre de travailleurs qui perdraient leur emploi pendant l'heure que le champion de la bourgeoisie sacrifiait à son grand show, à deux pas de là. Les chiffres officiels du chômage allaient tomber : 79.900 pour le seul mois de février, après les 90.000 du mois de janvier, ce qui confirme la moindre durée du mois de février !
Et que disait Sarkozy, claquemuré dans son palais des sports, flanqué de sa haute cour et s'adressant à cette basse cour qu'il avait l'impudence de confondre avec la population saint-quentinoise ?
" Je suis bien content d'être dans cette ville, dans ce département, dans cette région, où les gens d'ici connaissent la valeur du travail, du mérite, de l'effort".
Vous avez raison, Monsieur le Président, les gens d'ici connaissent ces valeurs. Mais je me dois de vous faire savoir que "les gens d'ici", ce ne sont pas ceux qui se trouvent devant vous, à vous flagorner. Ce sont ceux que vous ne voulez pas voir, que vous ne voulez pas entendre, qui ne sont pourtant pas loin de vous, mais qui ne vous entendront pas, ou ne prendront connaissance de vos paroles que tout à l'heure, devant leur poste de télévision.
Mais je peux vous dire une chose, c'est que s'ils vous avaient entendu à ce moment là, vous n'auriez pu empêcher leur clameur monter jusqu'à vous, et vos sbires auraient eu bien des difficultés à contenir leur indignation. Comment ! aller chanter les valeurs du travail et de l'effort à des gens que votre politique prive de leurs emplois, de leurs ressources, réduit à la misère, c'est de la provocation ! C'est une honte ! Votre "cher Xavier" a sans doute négligé de vous dire qu'à Saint-Quentin, la population diminue, que la pauvreté par contre ne cesse de s'accroître, que le taux de chômage est le plus élevé de Picardie. Voilà la réalité. Par rapport à cette réalité, votre discours est singulièrement décalé et révoltant. De ce discours, nour reparlerons peut-être, mais chacun aujourd'hui s'accorde à reconnaître que ce n'est pas là l'essentiel!
Pour finir, Monsieur le Président, permettez-moi de vous donner un petit conseil. Certes, ceux que j'ai pu donner à Xavier Bertrand ne semblent pas avoir produit d'excellents résultats, mais sait-on jamais !
Si vous tenez absolument à entretenir les gens de la valeur du travail et de l'effort, faîtes-le donc parmi les vôtres, dans d'autres villes plus favorisées que Saint-Quentin, pourquoi pas à Neuilly ?
Mais, de grâce, pas chez nous, pas dans la ville de Gracchus Babeuf et, oserai-je dire, pas chez moi. Pour nombre de Saint-Quentinois, votre discours a quelque chose d'indécent !
2 commentaires:
Et sait-on combien il y avait de manifestants selon les organisateurs de la manifestation ?
Je n'ai pu compter les manifestants, mais Jean-Pierre Lançon, responsable de la section du PS à Saint-Quentin et conseiller municipal d'opposition, évalue ce nombre à 700 environ. Olivier Tournay, conseiller municipal d'opposition pour le PCF, qui a été quelque peu rudoyé par les forces de police, parle de 1000 manifestants. C'était à peu près cela. On peut considérer que c'est peu, mais tout avait été fait pour dissuader les Saint-Quentinois de sortir de chez eux. Beaucoup m'ont dit avoir été choqués, pour ne pas dire traumatisés, par un tel déploiement de forces. Ils n'avaient jamais vu cela. Même la presse locale a considéré que "trop, c'est trop".
Bravo Sarko ! Tu te rends populaire. Les Saint-Quentinois ont beaucoup apprécié l'honneur qui leur était fait et le souci qu'on avait de leur sécurité. Ils ont également beaucoup apprécié les sommes exorbitantes dilapidées pour la circonstance. Reviens donc chez nous : nous serons plus nombreux à te dire notre façon de penser, si tu te risques au bain de foule. Il paraît que, depuis quelques déconvenues, tu apprécies modérément!
Enregistrer un commentaire