Le peuple en a assez !
Jamais un président de la République et son gouvernement n’ont affiché un tel mépris de la volonté populaire.
• Mépris des gens d’abord : des « racailles » qu’il faudrait « nettoyer au karcher » au « pauvre con » qui est sommé de « se casser », des chômeurs qui n’auraient pas le courage de se lever tôt aux Français qui gagnent peu parce qu’ils n’auraient pas la volonté de travailler plus, bref de tous les exclus, des travailleurs pauvres et des malades, accusés d’être seuls responsables de leur situation. Quel mépris pour ce qu'ils appellent la «France d’en bas », comme si « la France qui gagne », dont on nous rebat les oreilles ne se servait pas de la France qu'elle fait perdre comme d’un marchepied pour réaliser ses ambitions !
• Mépris pour la démocratie ensuite :
Mais qui donc pourra les entendre ? Ni les "blancs bonnets", ni les « bonnets blancs" de la politique, et pas davantage les "roses benêts »,ceux qui ont avalé toutes les couleuvres de l’économie de marché et du libéralisme.
Il n’y a qu’un grand parti de la classe ouvrière qui pourrait faire valoir les exigences populaires, faire droit aux principes de la démocratie et de la République, restaurer la souveraineté de la nation en la libérant du carcan des directives européennes.
Ce parti n’existe pas encore. Il est urgent de le construire. Vous êtes invités à participer à sa fondation.
Pour prendre une carte de membre fondateur, laissez vos coordonnées (Nom et prénom, adresse et n° de téléphone, adresse email) à l'adresse suivante : copostq02@orange.fr
• Mépris des gens d’abord : des « racailles » qu’il faudrait « nettoyer au karcher » au « pauvre con » qui est sommé de « se casser », des chômeurs qui n’auraient pas le courage de se lever tôt aux Français qui gagnent peu parce qu’ils n’auraient pas la volonté de travailler plus, bref de tous les exclus, des travailleurs pauvres et des malades, accusés d’être seuls responsables de leur situation. Quel mépris pour ce qu'ils appellent la «France d’en bas », comme si « la France qui gagne », dont on nous rebat les oreilles ne se servait pas de la France qu'elle fait perdre comme d’un marchepied pour réaliser ses ambitions !
• Mépris pour la démocratie ensuite :
- Le 29 mai 2005, le peuple rejette par référendum le traité établissant une constitution pour l’Europe. Il aura fallu pour cela une révision constitutionnelle.
Qu'à cela ne tienne : en février 2008, le traité de Lisbonne, qui en est la reprise pure et simple, est adopté par la voie parlementaire, au prix d'une nouvelle révision de la constitution. - Le peuple exprime lors des élections municipales son désaccord avec les réformes rétrogrades conduites par le gouvernement. Qu'à cela ne tienne : Nicolas Sarkozy et ses ministres font savoir aussitôt que non seulement ils n’y renonceront pas, mais encore qu’ils les durciront et en accentueront le rythme.
- Le peuple affirme son attachement aux services publics, au système de santé, au système de retraites, à l’école de la République. Qu'à cela ne tienne : François Fillon, Xavier Bertrand, Xavier Darcos, se hâtent de les mettre à sac pour donner des gages à l’Union européenne avant la présidence française.
- Les enseignants manifestent en masse dans toute la France pour exprimer leur refus des suppressions de postes dans l’Education nationale. Qu'à cela ne tienne : Nicolas Sarkozy répond par la provocation en décidant d’instaurer un service minimum.
- Remise en cause de la laïcité qui en est le fondement par des déclarations incongrues sur la valeur irremplaçable de l’éducation religieuse et sa supériorité sur l'instruction dispensée par les instituteurs.
- Remaniements à répétition de la constitution de la Ve République, comme si celle-ci n'était pas encore assez antidémocratique et restait trop attachée au principe de souveraineté nationale que l'Union européenne veut briser.
- Sarkozy et son gouvernement prétendent sauver l’Assurance maladie, alors qu’en vérité, il s’agit de la détruire en la livrant aux assurances privées.
- Ils assurent qu’ils veulent sauver la retraite par répartition alors qu’ils s’emploient à y faire entrer les fonds de pension.
- Ils prétendent sauver le système des retraites en allongeant le durée de cotisation, ce qui suppose, disent-ils, de « remettre les seniors au travail », alors qu’ils savent parfaitement que, faute de trouver un emploi , lesdits seniors seront contraints d’accepter une retraite au rabais.
Mais qui donc pourra les entendre ? Ni les "blancs bonnets", ni les « bonnets blancs" de la politique, et pas davantage les "roses benêts »,ceux qui ont avalé toutes les couleuvres de l’économie de marché et du libéralisme.
Il n’y a qu’un grand parti de la classe ouvrière qui pourrait faire valoir les exigences populaires, faire droit aux principes de la démocratie et de la République, restaurer la souveraineté de la nation en la libérant du carcan des directives européennes.
Ce parti n’existe pas encore. Il est urgent de le construire. Vous êtes invités à participer à sa fondation.
Pour prendre une carte de membre fondateur, laissez vos coordonnées (Nom et prénom, adresse et n° de téléphone, adresse email) à l'adresse suivante : copostq02@orange.fr
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